A l'heure où notre ministre de l'agriculture ne semble pas prendre l'apiculture au sérieux au point de ne pas se rendre au Congrès national (cf éditorial de Gilles Lanio Abeilles et Fleurs nov 2016), plusieurs études montrent que celle-ci est , bien au contraire, source de richesses difficilement évaluables tant les bénéfices directs et indirects des insectes pollinisateurs sont nombreux.

Voilà un troisième article qui va dans ce sens. A lire attentivement la dernière partie sur les valeurs non mesurables, notamment sur le bien-être dû à une alimentation saine alors que certain(e)s hommes (femmes) politiques prônent la libération des entraves que constituerait (conditionnel obligatoire) le principe de précaution.

L'article ici :